Le 119 confirme son rôle de repérage et de prévention
En 2019, une famille sur trois n’était pas connue des départements pour d’autres faits de danger sur mineur.
Pour en savoir davantage, cliquez ICI Les statistiques du Snated (Service National d’accueil téléphonique de l’enfance en danger)
Lorsque l’auteur présumé est un membre de la famille proche, il s’agit de la mère pour la moitié des enfants et du père pour plus du tiers d’entre eux (36,4%). Il faut toutefois souligner, comme cela a été présenté précédemment, que la résidence habituelle des enfants est principalement chez la mère, ce qui nécessite d’interpréter ces résultats avec précaution. Les mères sont bien plus citées que les pères en tant qu’auteures de mauvais traitements (négligences notamment), et surtout lorsq
Pouru’il s’agit de mineurs en bas âge, puisqu’elles partagent davantage le quotidien et la prise en charge des enfants.
De manière fidèle aux années précédentes, pour un tiers des enfants, les deux parents sont auteurs présumés. Dans ces situations, cela signifie qu’aucun des parents ne constituerait une ressource parentale sur laquelle l’enfant peut s’appuyer pour être protégé.
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Le 119 à composer dans tous les cas, c’est le numéro du service national d’accueil téléphonique de l’enfance en danger.
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Au bout du fil, le Service National d’Accueil Téléphonique de l’Enfance en Danger
Aussi Le Collectif pour l’Enfance
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