Se protéger des méningites – La Maison des maternelles #LMDM Dr Pfersdorff France 2

 

La méningite, c’est quoi?

Les vaccins contre la méningite sont à ne surtout pas négliger. C’est une maladie redoutable notamment à l’adolescence ! Les séquelles méningites : mortalité 8 à 10%, surdité, retard mental, paralysie motrice, épilepsie…

Présentée par Agathe Lecaron, La Maison des Maternelles est le rendez-vous quotidien consacré à la parentalité et petite enfance. Dans ce magazine, l’animatrice et les spécialistes qui l’entourent ont pour ambition de répondre aux interrogations des jeunes parents, proposant ainsi une émission de service. En toute liberté, de façon positive et décomplexée !

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Voire toute l’émission 1ère partie ICI

Voire l’émission 2è partie ICI

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Journée de lutte contre les méningites

À l’occasion de la journée de lutte contre les méningites le 2 octobre, le laboratoire GSK communique les résultats d’une enquête sur la perception qu’ont les parents de la vaccination, en particulier contre les méningocoques B. Depuis le 2 juin, la Haute Autorité de santé (HAS) recommande cette vaccination chez tous les nourrissons, le vaccin Bexsero (GSK) étant le premier et le seul autorisé dans cette tranche d’âge, et le Trumenba (Pfizer) ayant une autorisation de mise sur le marché à partir de 10 ans.

Si neuf parents sur dix connaissent la gravité de la méningite dans l’enquête, trois quarts des sondés ignorent l’existence des différents types de méningite à méningocoque (A, B, C, W et Y). Plus de la moitié des parents souhaitent en savoir davantage sur l’efficacité du vaccin anti-méningocoque B, ses effets indésirables ou encore l’âge auquel il est préconisé de faire vacciner l’enfant.

« Les parents demandent pourquoi il faudrait faire un autre vaccin que celui contre le méningocoque C, explique le Dr Christophe Philippe, pédiatre à Saint-Malo et PH en pédopsychiatrie au centre hospitalier de Plaisir (78). Les parents ne savent pas que le méningocoque B est majoritaire ni que le diagnostic est difficile. » La mortalité des infections invasives à méningocoques (IIM) de type B est importante (5 à 10 %) malgré les traitements, les séquelles graves de l’ordre de 20-30 %. D’autres conséquences sont plus difficiles à évaluer mais possibles comme des troubles des apprentissages. « Et même sans séquelles, il y a des répercussions dans la famille dont un enfant a été touché, c’est un traumatisme », ajoute le pédiatre.

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