Les pesticides, les perturbateurs endocriniens nous entourent
n’y a pas un journal, pas un jour où nous n’en entendions pas parler. Une fois ce sont les agriculteurs, gros consommateurs de ces perturbateurs environnementaux, qui sont montrés du doigt. Une autre fois ce sont les industriels, ou les particuliers avec l’usage de certains produits pour leur jardin.
On parle de plus en plus des perturbateurs endocriniens qui sont presque partout: dans le plastique (phtalates), dans les cosmétiques (parabènes), dans les pesticides (organochlorés), dans les traitements antitache (perfluorés), etc.
Une attitude « bio » commence à prendre forme, chez les particuliers en tous les cas. Mais ça ne suffit pas.
Les pesticides ne sont pas les seuls perturbateurs endocriniens qui vont modifier notre santé, provoquer des maladies.
Chez une femme enceinte, il y a une grande vulnérabilité du foetus, car le placenta est une sorte de « concentrateur » qui laisse passer beaucoup de choses. Le petit bébé en construction est « en bout de chaîne », il y a grand danger.
Il y a des gestes simples que nous pouvons adopter pour se protéger un minimum:
- éviter de boire l’eau dans les bouteilles en plastique
- privilégier le verre (pas facile certes)
- éviter certains cosmétiques
- éviter le couple plastique+micro-ondes
- éviter les casseroles et poêles recouvertes de Téflon
- privilégier le bio pour éviter les pesticides
- favoriser des poissons de type limande, maquereau
- éviter les fonds de teint (pas facile pour certaines, mais c’est un geste essentiel)
- éviter les lingettes bébés
- prendre du savon sans parfum, mieux du surgras sans savon
- favoriser le bois pour les jouets des enfants et non le plastique, etc..
Des médecins lanceurs d’alerte attirent l’attention des pouvoirs publics. Par exemple dans le Limousin, vous pouvez visiter leur blog. http://www.alerte-medecins-pesticides.fr
Vous pouvez également accéder à un article qui explique ce que sont les perturbateurs endocriniens et quelle attitude il faut adopter. En cliquant ICI
